O-SU-CAAAAAR ;o;

Marathon Lady Oscar - fini! \0/

Oui, j'ai survécu aux jérémiades de Rosalie ("Oscââââr") et au doublage certes délicieusement saveur locale (il faut vraiment songer à réintroduire palsambleu dans notre vocabulaire de tous les jours) mais parfois un peu hors piste et je me suis vautrée dans ce shôjô avec bonheur. J'ai quand même dû me réserver une après-midi spéciale pour visionner la fin qui ne manque jamais de me déprimer - il m'aurait été difficile de voir ça le matin et d'enchaîner avec le boulot en prenant le risque de saoûler mes collègues toute la journée sous prétexte que "oui mais tu vois André il est moooooort ;o;" (oui je sais, je devrais pas, ça va contre toutes mes bonnes habitudes de ne couiner qu'après les bad boys, mais André c'est mon guilty pleasure. Andrééééé ;o;)

Au passage je me suis amusée à parcourir les fan-arts existants sur DeviantArt, et laissez-moi dire que c'est tout un monde qui s'est découvert à moi. Alors je passerai sur les pairings Olive et Tom (DES PAIRINGS OLIVE ET TOM éoè), mais les minettes qui fantasment sur Louis XVI (LOUIS XVI éoè) et qui décrivent en détails leur vie sexuelle imaginaire avec feu notre souverain tandis que leurs copines acquièsent à grand coup de "ah oui c'est comme moi après une nuit avec Nelson" (L'amiral hein, pas le personnage des Simpsons, encore que je me demande ce qui est le pire)... pfiou.

Parce que moi jamais j'irais me faire des films avec Mark Landers, par exemple. Non, je dors juste avec son t-shirt.

(Et une petite dose d'Alain, parce qu'André oui, mais Alain aussi \0/)

Dashu dashu dashu

Oui oui j'arrête, mais pas avant de vous avoir parlé des t-shirts de chez Okawa, qu'ils sont super bien faits et que mon pitit frère il m'a offert le maillot de la Muppet que même les manches elles se retroussent pour vous donner l'impression parfaite d'être un petit malfrat des terrains \0/

Chôchô sanba! Jiguzagu sanba!

*souffle*

*envol de poussière*

En plein trip régressif alimenté par Déclic Images, j'ai repris la bonne vieille habitude de prendre mon café du matin devant un dessin animé période la Cinq, âge d'or des Magical Girls et des séries sportives qui ont déclenché tant de vocations (sauf chez moi, ohoho; enfin je parle du sport, parce que Magical Girl j'ai trop la vocation *.*).

Et autant des fois, revoir un film ou un dessin animé culte de notre enfance viole impitoyablement le souvenir merveilleux qu'on en avait gardé (c'est toi que je regarde, Bibifoc), autant Olive et Tom, non. Tout est à pleurer de bonheur. Les matchs interminables. Les lois de la physique aux oubliettes. Celles de la biologie, n'en parlons pas ("nan nan, c'est bon, je vais jouer le prochain match" fait Thomas Price, pris en flagrant déni monty-pythonesque devant la radio de sa jambe fracassée). L'absence totale de cartons rouges malgré les chevilles atomisées par des tacles disons enthousiastes. Le machisme outrancier de Mark Landers ("Le football, c'est PAS D'LA DANSE èoé"). L'accent hispanico-hilarant de Rrrrulian Rrrross.

Et encore, c'est que la première box-set.

Du coup je fanartise un peu beaucoup *.*


























(clic pour moins compressouillé)


Par contre laissez-moi vous dire que je ferai pas de fan-art de Cynthia ou le Rythme de la vie. Mais comment cette DINDE peut-elle choisir Willy, qui a le charisme d'une vieille serpillère molle? Greuh.


Bonus track (merci Kim ^3^)