Sunday 4 April 2010

Malbouffe

C'est en lisant l'excellent blog bouffe de Michiru que je me suis souvenu de ce site:

Steve, Don't Eat It

Soit les aventures culinaires du-dit Steve, dont les expériences vont du lait maternel jusqu'au maïs malade en passant par le natto japonais. Il est peu recommandé de lire la chose avant de manger (à moins d'avoir envie de commencer un régime draconien), mais moi ça me fait beaucoup rire, et donc je poste le lien pour ne plus le perdre.

David who?

Oui, un jour je parlerai d'autre chose, mais c'était le season premiere hier.

Telle X-Or (un X-Or vautré sur son canapé qui s'empiffrerait d'oeufs de Pâques, certes) il m'a suffi de trois-quarts de seconde pour complètement adhérer au Docteur de Matt Smith (alors qu'il m'avait bien fallu trois épisodes pour arrêter de hurler "JTAIME PAS, VILAIN" chaque fois que Tennant apparaissait à l'écran), et à peine plus pour tomber sous le charme d'Amy Pond (alors que Billie Piper, j'ai un peu honte, mais il a fallu attendre le mascara qui coule et les gros sanglots de Doomsday pour ça, elle me gonflait à planter sa mère et son mec comme une grosse égoïste).

Mais ce qui me séduit par dessus tout c'est le changement de ton dans l'écriture. Davies raffolait des space operas dramatiques centrés autour de son bomBAstic-doctor-fanTAstic. Moffat construit ses épisodes comme des contes étranges qui jouent sur les angoisses de l'enfance - la peur du noir (Silence in the Library), les monstres cachés sous le lit (Girl in the Fireplace). Ses épisodes se vivent davantage comme une contine subtile et un rien inquiétante. On devrait donc nous épargner la vision des Terriens faisant léviter Eleven par la seule force de la pensée, ou du Tardis remorquant la Terre à travers la galaxie.

Bref voilà. C'est un peu triste, mais aucun regret! Sauf John Simm en Master, bouhouhou


























(oui je corrigerai les grosses erreurs quand je le mettrai au propre, mais ça me démangeait)