Monday 25 April 2011

Chôchô sanba! Jiguzagu sanba!

*souffle*

*envol de poussière*

En plein trip régressif alimenté par Déclic Images, j'ai repris la bonne vieille habitude de prendre mon café du matin devant un dessin animé période la Cinq, âge d'or des Magical Girls et des séries sportives qui ont déclenché tant de vocations (sauf chez moi, ohoho; enfin je parle du sport, parce que Magical Girl j'ai trop la vocation *.*).

Et autant des fois, revoir un film ou un dessin animé culte de notre enfance viole impitoyablement le souvenir merveilleux qu'on en avait gardé (c'est toi que je regarde, Bibifoc), autant Olive et Tom, non. Tout est à pleurer de bonheur. Les matchs interminables. Les lois de la physique aux oubliettes. Celles de la biologie, n'en parlons pas ("nan nan, c'est bon, je vais jouer le prochain match" fait Thomas Price, pris en flagrant déni monty-pythonesque devant la radio de sa jambe fracassée). L'absence totale de cartons rouges malgré les chevilles atomisées par des tacles disons enthousiastes. Le machisme outrancier de Mark Landers ("Le football, c'est PAS D'LA DANSE èoé"). L'accent hispanico-hilarant de Rrrrulian Rrrross.

Et encore, c'est que la première box-set.

Du coup je fanartise un peu beaucoup *.*


























(clic pour moins compressouillé)


Par contre laissez-moi vous dire que je ferai pas de fan-art de Cynthia ou le Rythme de la vie. Mais comment cette DINDE peut-elle choisir Willy, qui a le charisme d'une vieille serpillère molle? Greuh.


Bonus track (merci Kim ^3^)